L'unique voie, la construction.
Mes frères, enfin ceux que j’estime et dont l’avis a une importance à mes yeux, me reconnaissent Franc-Maçon. Au-delà du fait que je suis démissionnaire d’une association qui n’a plus rien d’ésotérique, plus aucun apport dans une évolution telle que je la recherche mais plutôt le contraire, la GLNF, au fil de ces deux années d’errance est devenue une structure sans âme, dirigée par de grotesques pantins qui n’ont rien compris au chemin qu’ils font semblant d’arpenter.
Je ne regrette pas ma démission, je ne me serais pas laisser « conduire » dans un dehors que je trouve aujourd’hui plus sain que le dedans qu’on me propose. J’ai préféré choisir de claquer une porte perméable à des valeurs qui ne sont plus les miennes, très loin s’en faut.
Je suis donc très bien dans cet espace où, loin d’être seul, je suis accompagné par des hommes libres, de bonnes mœurs et qui, pour moi, sont les vrais maçons, ceux que je reconnais pour tel.
Mon avis n’a que peu d’importance, j’en conviens très volontiers, mais dans ces turbulences, l’écrire et le donner, me permet de faire un point sur mes attentes, mon futur proche et plus lointain et surtout, me permet de vérifier que je suis en accord avec mes principes et mes valeurs.
Ces 15 années au sein de la GLNF, de recherche, d’analyse, m’auront permis de me construire un peu plus, d’affirmer certaines choses et d’un rejeter d’autres. Je suis devenu un peu plus celui que je suis au fond de moi et non quelqu’un d’autre auquel, pour rien au monde, je n’aurais voulu ressembler.
Je n’en veux à personne et je respecte les choix de tous, qui suis-je pour pouvoir douter de l’honnêteté et de la probité de personnes avec lesquels pendant un temps j’ai partagé, cheminé et eu des rapports très privilégiés ?
De même, je n’ai rien à pardonner à qui que ce soit, sauf les écarts de langage de quelques uns, toujours les mêmes, qui ont donné lieu à des commentaires peu honorables et surtout en contradiction totale avec la réalité. De ces derniers, je ne retiendrai que l’erreur que j’ai fait de penser qu’il y avait de la place pour tout le monde dans le grand carrousel de l’évolution. Non, décidemment non, ceux-là n’évolueront plus, ils ont atteint le maximum de ce que la nature leur a offert. Ils sont définitivement ce qu’ils sont et n’en bougeront plus. Je ne souhaite pas continuer quoi que ce soit avec eux et c’est pour cela que je considère la GLNF définitivement défunte.
Je suis prêt à construire quelque chose de nouveau, de propre et de moderne. Cette volonté et cette implication je les mets au service de ceux qui, comme moi, pensent que cette construction à partir de nos seules déterminations et en abandonnant les acquis matériels à ceux pour qui c’est essentiel, est la seule voie possible et envisageable.
Je ne regrette pas ma démission, je ne me serais pas laisser « conduire » dans un dehors que je trouve aujourd’hui plus sain que le dedans qu’on me propose. J’ai préféré choisir de claquer une porte perméable à des valeurs qui ne sont plus les miennes, très loin s’en faut.
Je suis donc très bien dans cet espace où, loin d’être seul, je suis accompagné par des hommes libres, de bonnes mœurs et qui, pour moi, sont les vrais maçons, ceux que je reconnais pour tel.
Mon avis n’a que peu d’importance, j’en conviens très volontiers, mais dans ces turbulences, l’écrire et le donner, me permet de faire un point sur mes attentes, mon futur proche et plus lointain et surtout, me permet de vérifier que je suis en accord avec mes principes et mes valeurs.
Ces 15 années au sein de la GLNF, de recherche, d’analyse, m’auront permis de me construire un peu plus, d’affirmer certaines choses et d’un rejeter d’autres. Je suis devenu un peu plus celui que je suis au fond de moi et non quelqu’un d’autre auquel, pour rien au monde, je n’aurais voulu ressembler.
Je n’en veux à personne et je respecte les choix de tous, qui suis-je pour pouvoir douter de l’honnêteté et de la probité de personnes avec lesquels pendant un temps j’ai partagé, cheminé et eu des rapports très privilégiés ?
De même, je n’ai rien à pardonner à qui que ce soit, sauf les écarts de langage de quelques uns, toujours les mêmes, qui ont donné lieu à des commentaires peu honorables et surtout en contradiction totale avec la réalité. De ces derniers, je ne retiendrai que l’erreur que j’ai fait de penser qu’il y avait de la place pour tout le monde dans le grand carrousel de l’évolution. Non, décidemment non, ceux-là n’évolueront plus, ils ont atteint le maximum de ce que la nature leur a offert. Ils sont définitivement ce qu’ils sont et n’en bougeront plus. Je ne souhaite pas continuer quoi que ce soit avec eux et c’est pour cela que je considère la GLNF définitivement défunte.
Je suis prêt à construire quelque chose de nouveau, de propre et de moderne. Cette volonté et cette implication je les mets au service de ceux qui, comme moi, pensent que cette construction à partir de nos seules déterminations et en abandonnant les acquis matériels à ceux pour qui c’est essentiel, est la seule voie possible et envisageable.